Mas du Sabartes produits de terroir.

Bienvenue au Mas du Sabartes, au cœur du département des Pyrénées-Orientales, entre mer et montagne, dans la plaine du Roussillon.

Depuis plus de quatre générations, le Domaine évolue en fonction des besoins, des marchés, des modes de consommation, du climat et de tous les facteurs imprévisibles qui font de l’agriculture un métier de passion.

Initialement, le Domaine était viticole, puis s’est diversifié dans l’arboricole, aujourd’hui, parce que je suis seule à le gérer, j’ai réduit les surfaces exploitées, j’ai opté pour des cultures moins gourmandes en main d’œuvre et choisi de valoriser mes produits en les transformant.

A ce jour, le Domaine compte une oliveraie, un verger de fruitiers divers et une safranière.

L’oliveraie

L’olivier était déjà cultivé par les Templiers au XIème siècle sur notre territoire. Les plantations ont quasiment disparu au détriment de la culture de la vigne, beaucoup plus rentable, au XXème siècle.

Dans les années 2000, nous avons réintroduite cette culture sur le Domaine du Mas du Sabartes, en veillant à bien conserver la variété originaire et directement associée au département des Pyrénées-Orientales : l’Olivière.

Bien que très capricieuse, la variété d’olive « Olivière », nous permet d’élaborer une huile d’olive Vierge extra aux arômes hors du commun.

Le verger de fruitiers

Le climat méditerranéen de notre région est idéal pour la culture de nombreuses variétés d’arbres fruitiers ; Ainsi sur le verger du Domaine, cerisiers, abricotiers, pêchers, pruniers, poiriers, mirabellier, figuiers, grenadier, cognacier, amandiers, noisetiers et agrumes sont cultivés dans le respect des bonnes pratiques agricoles.

Récoltés à l’optimum de leur maturité, les fruits du verger sont transformés en confitures, dans notre laboratoire, directement sur le Domaine.

La safranière

Dernière culture installée sur le Domaine du Mas du Sabartes : le Safran

Les bulbes de Crocus Sativus donnent à l’automne de belles petites fleurs fragiles, que nous récoltons tôt le matin pour qu’elles ne soient pas altérées par les rayons du soleil encore intenses à cette période dans notre région.
Vient ensuite un travail minutieux : il faut ouvrir chaque fleur et en prélever les trois petits stigmates rouges, qui seront ensuite lentement déshydratés à l’abri de la lumière.

Idéalement, il faut ensuite laisser « vieillir » le safran 12 mois pour qu’il donne un maximum de ses arômes.